Une fois n'est pas coutume, s'éloignant un tantinet - mais pas trop tout de même - de notre cher Quinzième Arrondissement, Paris15 est parti en exploration du côté du Quai Branly et de son musée flambant neuf, celui anciennement nommé des Arts Premiers. Paris15 a plus spécialement testé une visite contée-atelier, appelée « Dans tous les Sons », qui consiste en une découverte du musée autour des instruments de musique, et le musée en compte pas moins de 9700, des instruments, qui sont pour la plupart stockés dans une colonne en verre fort moderniste, mais qui fut l'objet de pas mal de critiques ! Cette haute tour de verre (6 étages représentant 4 continents : Amérique du sud, Océanie, Afrique et Asie) permet de conserver les instruments dans des conditions adaptées tout en les laissant à la vue des visiteurs, et ce parti pris démocratique nous a plutôt paru de bon aloi...
L'ex musée des Arts Premiers, donc, inauguré en juin 2006, a fait l'objet d'un véritable buzz médiatique, et ce Musée apparaît d'ores et déjà en troisième position des musées parisiens les plus fréquentés, juste derrière l'inamovible Louvre et le grand classique Beaubourg. 500,000 visiteurs étaient attendus en 6 mois, il en est venu le double ! Mais le musée est si gigantesque qu'une seule visite ne saurait suffire à épancher votre soif de connaissances.
La visite contée "Dans tous les sons", est réellement fort passionnante ; le guide-musicien, un certain Sebastiàn Morales, chilien et musicien de son état (et ethno-musicologue), maîtrise son sujet à merveille, fait preuve d'un sens pédagogique inattaquable, et joue de moult instruments (dont une flûte en os) pour nous faire comprendre la classification européenne officielle des instruments de musique. 4 catégories suffisent en effet à identifier l'ensemble des instruments de la Terre : les membranophones, les aérophones, les cordophones et les idiophones, cette dernière catégorie n'étant pas réservée qu'aux imbéciles (hum... hum...), mais comprend les instruments qui produisent du son par eux-mêmes !
Au bout d'une heure et des poussières de déambulations intensives et instructives dans le Musée (en passant notamment par une boîte noire à l'intérieur de laquelle sont projetés sur écrans géants 4 films sur l'Inde, les Îles Salomon, le Sahara et l'Amazonie), il est temps de passer à l'Atelier Pratique où chacun des participants a l'occasion de jouer d'une trentaine d'instruments originaux du monde entier, d'écouter les explications de l'animateur et de visionner un DVD présentant une kyrielle d'instruments de toutes les régions du globe. Notons que l'auteur de ce fascinant DVD, René Figari, est lui-même musicien, globe-trotter, et a déniché en personne toutes ces scènes incroyables !
Sebastiàn Morales, qui a conçu lui-même cette visite guidée, vous communiquera sans coup férir sa passion de la musique et des instruments (il est spécialisé dans les cordophones), et vous ne verrez pas le temps passer... Ce Musée du Quai Branly, puisque telle est sa dénomination officielle, superbement conçu, tant du point de vue architectural extérieur qu'intérieur, comprend un beau jardin, un mur végétal, un café (relativement dispendieux, ceci dit), et la présentation des objets (3,500 sont exposés sur un stock de... 250,000 !) les valorise vraiment. Pour le coup, Paris15 se serait cru dans un beau musée à l'étranger, tant les parisiens que nous sommes n'ont pas été habitués à tant de luxe et de bon goût dans un espace aussi vaste... Paris15 vous le dit, allez promener vos basques du côté du Quai Branly, vous ne regretterez pas le voyage !
Musée du Quai Branly - Portail Alma : 27 quai Branly Portail Université : 218 rue de l'Université Métro : Iéna (ligne 9), Alma-Marceau (ligne 9), Pont de l'Alma (RER C), Bir Hakeim (ligne 6) / Bus : ligne 42 arrêt Tour Eiffel ; lignes 63, 80, 92 : arrêt Bosquet-Rapp ; ligne 72 arrêt musée d'art moderne - Palais de Tokyo / Navette fluviale : arrêt Tour Eiffel (Batobus, Bateaux parisiens et Vedettes de Paris) - www.quaibranly.fr
Une fois n'est pas coutume, s'éloignant un tantinet - mais pas trop tout de même - de notre cher Quinzième Arrondissement, Paris15 est parti en exploration du côté du Quai Branly et de son musée flambant neuf, celui anciennement nommé des Arts Premiers. Paris15 a plus spécialement testé une visite contée-atelier, appelée « Dans tous les Sons », qui consiste en une découverte du musée autour des instruments de musique, et le musée en compte pas moins de 9700, des instruments, qui sont pour la plupart stockés dans une colonne en verre fort moderniste, mais qui fut l'objet de pas mal de critiques ! Cette haute tour de verre (6 étages représentant 4 continents : Amérique du sud, Océanie, Afrique et Asie) permet de conserver les instruments dans des conditions adaptées tout en les laissant à la vue des visiteurs, et ce parti pris démocratique nous a plutôt paru de bon aloi...
L'ex musée des Arts Premiers, donc, inauguré en juin 2006, a fait l'objet d'un véritable buzz médiatique, et ce Musée apparaît d'ores et déjà en troisième position des musées parisiens les plus fréquentés, juste derrière l'inamovible Louvre et le grand classique Beaubourg. 500,000 visiteurs étaient attendus en 6 mois, il en est venu le double ! Mais le musée est si gigantesque qu'une seule visite ne saurait suffire à épancher votre soif de connaissances.
La visite contée "Dans tous les sons", est réellement fort passionnante ; le guide-musicien, un certain Sebastiàn Morales, chilien et musicien de son état (et ethno-musicologue), maîtrise son sujet à merveille, fait preuve d'un sens pédagogique inattaquable, et joue de moult instruments (dont une flûte en os) pour nous faire comprendre la classification européenne officielle des instruments de musique. 4 catégories suffisent en effet à identifier l'ensemble des instruments de la Terre : les membranophones, les aérophones, les cordophones et les idiophones, cette dernière catégorie n'étant pas réservée qu'aux imbéciles (hum... hum...), mais comprend les instruments qui produisent du son par eux-mêmes !
Au bout d'une heure et des poussières de déambulations intensives et instructives dans le Musée (en passant notamment par une boîte noire à l'intérieur de laquelle sont projetés sur écrans géants 4 films sur l'Inde, les Îles Salomon, le Sahara et l'Amazonie), il est temps de passer à l'Atelier Pratique où chacun des participants a l'occasion de jouer d'une trentaine d'instruments originaux du monde entier, d'écouter les explications de l'animateur et de visionner un DVD présentant une kyrielle d'instruments de toutes les régions du globe. Notons que l'auteur de ce fascinant DVD, René Figari, est lui-même musicien, globe-trotter, et a déniché en personne toutes ces scènes incroyables !
Sebastiàn Morales, qui a conçu lui-même cette visite guidée, vous communiquera sans coup férir sa passion de la musique et des instruments (il est spécialisé dans les cordophones), et vous ne verrez pas le temps passer... Ce Musée du Quai Branly, puisque telle est sa dénomination officielle, superbement conçu, tant du point de vue architectural extérieur qu'intérieur, comprend un beau jardin, un mur végétal, un café (relativement dispendieux, ceci dit), et la présentation des objets (3,500 sont exposés sur un stock de... 250,000 !) les valorise vraiment. Pour le coup, Paris15 se serait cru dans un beau musée à l'étranger, tant les parisiens que nous sommes n'ont pas été habitués à tant de luxe et de bon goût dans un espace aussi vaste... Paris15 vous le dit, allez promener vos basques du côté du Quai Branly, vous ne regretterez pas le voyage !
Musée du Quai Branly - Portail Alma : 27 quai Branly Portail Université : 218 rue de l'Université Métro : Iéna (ligne 9), Alma-Marceau (ligne 9), Pont de l'Alma (RER C), Bir Hakeim (ligne 6) / Bus : ligne 42 arrêt Tour Eiffel ; lignes 63, 80, 92 : arrêt Bosquet-Rapp ; ligne 72 arrêt musée d'art moderne - Palais de Tokyo / Navette fluviale : arrêt Tour Eiffel (Batobus, Bateaux parisiens et Vedettes de Paris) - www.quaibranly.fr
Une fois n'est pas coutume, s'éloignant un tantinet - mais pas trop tout de même - de notre cher Quinzième Arrondissement, Paris15 est parti en exploration du côté du Quai Branly et de son musée flambant neuf, celui anciennement nommé des Arts Premiers. Paris15 a plus spécialement testé une visite contée-atelier, appelée « Dans tous les Sons », qui consiste en une découverte du musée autour des instruments de musique, et le musée en compte pas moins de 9700, des instruments, qui sont pour la plupart stockés dans une colonne en verre fort moderniste, mais qui fut l'objet de pas mal de critiques ! Cette haute tour de verre (6 étages représentant 4 continents : Amérique du sud, Océanie, Afrique et Asie) permet de conserver les instruments dans des conditions adaptées tout en les laissant à la vue des visiteurs, et ce parti pris démocratique nous a plutôt paru de bon aloi...
L'ex musée des Arts Premiers, donc, inauguré en juin 2006, a fait l'objet d'un véritable buzz médiatique, et ce Musée apparaît d'ores et déjà en troisième position des musées parisiens les plus fréquentés, juste derrière l'inamovible Louvre et le grand classique Beaubourg. 500,000 visiteurs étaient attendus en 6 mois, il en est venu le double ! Mais le musée est si gigantesque qu'une seule visite ne saurait suffire à épancher votre soif de connaissances.
La visite contée "Dans tous les sons", est réellement fort passionnante ; le guide-musicien, un certain Sebastiàn Morales, chilien et musicien de son état (et ethno-musicologue), maîtrise son sujet à merveille, fait preuve d'un sens pédagogique inattaquable, et joue de moult instruments (dont une flûte en os) pour nous faire comprendre la classification européenne officielle des instruments de musique. 4 catégories suffisent en effet à identifier l'ensemble des instruments de la Terre : les membranophones, les aérophones, les cordophones et les idiophones, cette dernière catégorie n'étant pas réservée qu'aux imbéciles (hum... hum...), mais comprend les instruments qui produisent du son par eux-mêmes !
Au bout d'une heure et des poussières de déambulations intensives et instructives dans le Musée (en passant notamment par une boîte noire à l'intérieur de laquelle sont projetés sur écrans géants 4 films sur l'Inde, les Îles Salomon, le Sahara et l'Amazonie), il est temps de passer à l'Atelier Pratique où chacun des participants a l'occasion de jouer d'une trentaine d'instruments originaux du monde entier, d'écouter les explications de l'animateur et de visionner un DVD présentant une kyrielle d'instruments de toutes les régions du globe. Notons que l'auteur de ce fascinant DVD, René Figari, est lui-même musicien, globe-trotter, et a déniché en personne toutes ces scènes incroyables !
Sebastiàn Morales, qui a conçu lui-même cette visite guidée, vous communiquera sans coup férir sa passion de la musique et des instruments (il est spécialisé dans les cordophones), et vous ne verrez pas le temps passer... Ce Musée du Quai Branly, puisque telle est sa dénomination officielle, superbement conçu, tant du point de vue architectural extérieur qu'intérieur, comprend un beau jardin, un mur végétal, un café (relativement dispendieux, ceci dit), et la présentation des objets (3,500 sont exposés sur un stock de... 250,000 !) les valorise vraiment. Pour le coup, Paris15 se serait cru dans un beau musée à l'étranger, tant les parisiens que nous sommes n'ont pas été habitués à tant de luxe et de bon goût dans un espace aussi vaste... Paris15 vous le dit, allez promener vos basques du côté du Quai Branly, vous ne regretterez pas le voyage !
Musée du Quai Branly - Portail Alma : 27 quai Branly Portail Université : 218 rue de l'Université Métro : Iéna (ligne 9), Alma-Marceau (ligne 9), Pont de l'Alma (RER C), Bir Hakeim (ligne 6) / Bus : ligne 42 arrêt Tour Eiffel ; lignes 63, 80, 92 : arrêt Bosquet-Rapp ; ligne 72 arrêt musée d'art moderne - Palais de Tokyo / Navette fluviale : arrêt Tour Eiffel (Batobus, Bateaux parisiens et Vedettes de Paris) - www.quaibranly.fr
Attention aux imposteurs ! Soyez prudents. Il nous est signalé que des personnes se recommandant de la Mairie du 15ème arrondissement, pénètrent dans les immeubles et proposent leur aide aux personnes âgées. Ce sont des imposteurs.
Paris15 vous recommande bien entendu la prudence, mais s'interroge (malicieusement) sur cette déclaration expliquant qu'une personne de la Mairie du 15ème proposant son aide à quelqu'une soit forcément un imposteur...
Attention aux imposteurs ! Soyez prudents. Il nous est signalé que des personnes se recommandant de la Mairie du 15ème arrondissement, pénètrent dans les immeubles et proposent leur aide aux personnes âgées. Ce sont des imposteurs.
Paris15 vous recommande bien entendu la prudence, mais s'interroge (malicieusement) sur cette déclaration expliquant qu'une personne de la Mairie du 15ème proposant son aide à quelqu'une soit forcément un imposteur...
Attention aux imposteurs ! Soyez prudents. Il nous est signalé que des personnes se recommandant de la Mairie du 15ème arrondissement, pénètrent dans les immeubles et proposent leur aide aux personnes âgées. Ce sont des imposteurs.
Paris15 vous recommande bien entendu la prudence, mais s'interroge (malicieusement) sur cette déclaration expliquant qu'une personne de la Mairie du 15ème proposant son aide à quelqu'une soit forcément un imposteur...
Puisque c'est les vacances, à bas la pénitence les cahiers au feu les maîtres au milieu, Paris15 va vous filer une de ses petites combines, afin d'agrémenter un peu les longues journées de votre progéniture.
Ca se passe à l'Espace Paris Plaine, et justement, il y est question de combine, très exactement celle de Colombine. En fait, il semblerait que Colombine et Arlequin aient plus d'un tour dans leur sac, qu'ils seraient un rien combinards, donc.
Toujours est-il que ça s'adresse aux (petits) quinziémois (enfin, les autres ont le droit d'y aller aussi, hein) dès lors qu'ils ont plus de 6 ans. Et que c'est un joyeux mélange d'univers très différents, avec une intrigue revisitant allègrement, librement et sans se rater, la commedia dell'arte.
La combine de Colombine Durée : 1h10 Pour en savoir plus sur le spectacle
Jusqu'au 10 mars. Tous les jours à 15h sauf le dimanche pendant les vacances scolaires. Les mercredi et samedi hors vacances scolaires, à 15 h aussi.
Espace Paris Plaine 13 rue du Général Guillaumat tél : 01 40 43 01 82 Tarif : 8 euros
Puisque c'est les vacances, à bas la pénitence les cahiers au feu les maîtres au milieu, Paris15 va vous filer une de ses petites combines, afin d'agrémenter un peu les longues journées de votre progéniture.
Ca se passe à l'Espace Paris Plaine, et justement, il y est question de combine, très exactement celle de Colombine. En fait, il semblerait que Colombine et Arlequin aient plus d'un tour dans leur sac, qu'ils seraient un rien combinards, donc.
Toujours est-il que ça s'adresse aux (petits) quinziémois (enfin, les autres ont le droit d'y aller aussi, hein) dès lors qu'ils ont plus de 6 ans. Et que c'est un joyeux mélange d'univers très différents, avec une intrigue revisitant allègrement, librement et sans se rater, la commedia dell'arte.
La combine de Colombine Durée : 1h10 Pour en savoir plus sur le spectacle
Jusqu'au 10 mars. Tous les jours à 15h sauf le dimanche pendant les vacances scolaires. Les mercredi et samedi hors vacances scolaires, à 15 h aussi.
Espace Paris Plaine 13 rue du Général Guillaumat tél : 01 40 43 01 82 Tarif : 8 euros
Puisque c'est les vacances, à bas la pénitence les cahiers au feu les maîtres au milieu, Paris15 va vous filer une de ses petites combines, afin d'agrémenter un peu les longues journées de votre progéniture.
Ca se passe à l'Espace Paris Plaine, et justement, il y est question de combine, très exactement celle de Colombine. En fait, il semblerait que Colombine et Arlequin aient plus d'un tour dans leur sac, qu'ils seraient un rien combinards, donc.
Toujours est-il que ça s'adresse aux (petits) quinziémois (enfin, les autres ont le droit d'y aller aussi, hein) dès lors qu'ils ont plus de 6 ans. Et que c'est un joyeux mélange d'univers très différents, avec une intrigue revisitant allègrement, librement et sans se rater, la commedia dell'arte.
La combine de Colombine Durée : 1h10 Pour en savoir plus sur le spectacle
Jusqu'au 10 mars. Tous les jours à 15h sauf le dimanche pendant les vacances scolaires. Les mercredi et samedi hors vacances scolaires, à 15 h aussi.
Espace Paris Plaine 13 rue du Général Guillaumat tél : 01 40 43 01 82 Tarif : 8 euros
Chers lecteurs, si vous avez attendu un peu plus longtemps qu'à l'habitude votre article quinzièmois, Paris15 vous le dit : ça valait le coup !
En effet, aujourd'hui, nous avons le plaisir de vous faire découvrir un nouveau service web, aussi simple qu'essentiel. Il s'agit du site Justacôté, qui offre l'indispensable à l'internaute avisé que vous êtes. Justacôté répertorie, localise, liste, classe, trie les services de proximité de votre quartier. Cerise sur le gâteau, l'internaute peut ajouter le service qu'il connaît, noter, commenter et donner son avis, tout cela bénéficiant immédiatement aux autres internautes.
A l'heure où chacun de nous (Paris15 en sait quelque chose) a envie de retrouver un peu de contact humain, un peu d'échange, un peu de proximité, Justacôté est un outil dont on aurait sacrément tort de se priver !
Sachez que si ce service fonctionne pour toute la France (chouette idée pour préparer les bons services des vacances ou bluffer le cousin de province), le créateur de ce beau projet réside... dans notre 15ème ! Autant vous dire que Paris15 en est plus qu'enthousiaste !
Et pour marquer son lancement, Justacôté nous offre en avant première, à nous quinzièmois, cette mini-carte insérable dans n'importe quel site... on allait pas bouder notre plaisir.
Voici donc la chose. Baladez-vous dans cette carte, visitez, consultez, et s'il vous plait, venez enrichir tout cela de tous ces indispensables services de proximité que vous connaissez !
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A l'heure où chacun de nous (Paris15 en sait quelque chose) a envie de retrouver un peu de contact humain, un peu d'échange, un peu de proximité, Justacôté est un outil dont on aurait sacrément tort de se priver !
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En effet, aujourd'hui, nous avons le plaisir de vous faire découvrir un nouveau service web, aussi simple qu'essentiel. Il s'agit du site Justacôté, qui offre l'indispensable à l'internaute avisé que vous êtes. Justacôté répertorie, localise, liste, classe, trie les services de proximité de votre quartier. Cerise sur le gâteau, l'internaute peut ajouter le service qu'il connaît, noter, commenter et donner son avis, tout cela bénéficiant immédiatement aux autres internautes.
A l'heure où chacun de nous (Paris15 en sait quelque chose) a envie de retrouver un peu de contact humain, un peu d'échange, un peu de proximité, Justacôté est un outil dont on aurait sacrément tort de se priver !
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Chers lecteurs, peut-être avez-vous déjà croisé de par chez vous les agents recenseurs de l'INSEE, munis de leur jolie carte officielle tricolore. En tout cas, vous pouvez être l'un des heureux recensés, choisi au hasard par notre national institut de la statistique. Depuis 2004, le recensement général est en effet remplacé par des enquêtes annuelles. A Paris, comme dans toutes les communes de plus de 10 000 habitants, la collecte des informations se déroule, chaque année, auprès d'un échantillon de 8% de la population, réparti dans tous les arrondissements. Donc le 15ème est concerné, y a pas à tortiller.
C'est prévu jusqu'au 24 février, alors si vous êtes interrogés, soyez civiques, répondez !!
Chers lecteurs, peut-être avez-vous déjà croisé de par chez vous les agents recenseurs de l'INSEE, munis de leur jolie carte officielle tricolore. En tout cas, vous pouvez être l'un des heureux recensés, choisi au hasard par notre national institut de la statistique. Depuis 2004, le recensement général est en effet remplacé par des enquêtes annuelles. A Paris, comme dans toutes les communes de plus de 10 000 habitants, la collecte des informations se déroule, chaque année, auprès d'un échantillon de 8% de la population, réparti dans tous les arrondissements. Donc le 15ème est concerné, y a pas à tortiller.
C'est prévu jusqu'au 24 février, alors si vous êtes interrogés, soyez civiques, répondez !!
Chers lecteurs, peut-être avez-vous déjà croisé de par chez vous les agents recenseurs de l'INSEE, munis de leur jolie carte officielle tricolore. En tout cas, vous pouvez être l'un des heureux recensés, choisi au hasard par notre national institut de la statistique. Depuis 2004, le recensement général est en effet remplacé par des enquêtes annuelles. A Paris, comme dans toutes les communes de plus de 10 000 habitants, la collecte des informations se déroule, chaque année, auprès d'un échantillon de 8% de la population, réparti dans tous les arrondissements. Donc le 15ème est concerné, y a pas à tortiller.
C'est prévu jusqu'au 24 février, alors si vous êtes interrogés, soyez civiques, répondez !!
La semaine passée, Paris15 vous avait parlé avec beaucoup d'émotion et de coeur d'une psychologue ayant pignon sur cour dans notre cher Quinzième, Nicole Chamchik. Après la Mère Psychologue, Paris15 va vous parler de la Fille Artiste ! Notre chaleureuse discussion avec Nicole avait en quelque sorte donné le « La » de la soirée...
Nathalie Amy, qui connaît la musique, porte bien son nom et n'est jamais à court d'inspiration (il s'en passera du temps avant que l'Amy cale, hum, hum) est une autre belle rencontre. Elle partage avec sa mère une vraie sensibilité à l'autre, une écoute, une bienveillance qui réchauffent le coeur. Ne pas montrer sa sensibilité en présence de Nathalie est impossible, tant sa voix, son attitude, sa personnalité incitent à la confiance et instaure un climat chaleureux et doux. Nathalie, outre des études très sérieuses et une grande intelligence (mais l'intelligence du cerveau n'est belle que si elle est couplée à celle du coeur, ce qui est définitivement le cas ici), est une artiste, une chansonnière, mais dans le noble sens de ce mot. Elle met en paroles et musiques des bribes de vie, des instants miraculeux où quelque chose de rare se produit. Elle n'a aucun mal à contacter ce qu'elle appelle joliment Mademoiselle Inspiration, et il est vrai qu'à l'entendre, on a l'impression que les mots lui viennent spontanément, naturellement.
Nathalie écrit en général ses textes en même temps que la musique, d'un jet, et les mots résonnent tout de suite, en accord avec les jolies mélodies qu'elle cisèle concomitamment. La nature poétique de ses compositions saute aux oreilles de ceux qui l'écoutent chanter de sa belle voix alto des textes doux amers, des tranches de vie fortes de symboles et d'associations d'images ; la base de ses chansons est bien souvent une rencontre, une émotion qui jaillit et qu'elle se fait fort de capter, d'emprisonner dans des mots touchants de sensibilité et d'une naïveté charmante. Ses mots trottent dans la tête et sa musique entête l'âme... L'humour n'est pas absent, loin de là, de ses compositions originales.
Mais si Paris15 vous parle avec autant d'émotion de Nathalie, c'est parce qu'une proposition de collaboration à un projet musical concret vous est offerte, chers lecteurs musiciens. En effet, Nathalie s'est attelé à la lourde mais vivifiante tâche d'écrire une comédie musicale, ladite comédie est en phase de répétition dans un local sis près du Trocadéro. Cette comédie musicale, ZEP, thème d'actualité, souhaite mettre en avant la possible priorité de solliciter nos zones cervicales émotionnelles, musicales et créatives (et oui, il s'agit de ces ZEP-là !) Ainsi nous pouvons prendre un poil de distance par rapport à nos vies monotones (comme le chantait si bien Gérard Manset), bref, prendre conscience de la beauté du monde et de chacun...
Alors, si vous êtes guitariste ou pianiste confirmé, doté d'une belle sensibilité, et volontaire pour participer à cette belle aventure, n'hésitez pas à contacter directement Nathalie ! Le spectacle est prévu au mois de mai, et Nathalie est en effet à la recherche d'une autre belle âme musicienne, qui saura l'accompagner avec sensibilité sur ce projet! Et si vous êtes en position de dénicheur de nouveaux talents, Paris15 vous le dit également, cette Nathalie-là vaut son pesant d'or... A bon entendeur...
La semaine passée, Paris15 vous avait parlé avec beaucoup d'émotion et de coeur d'une psychologue ayant pignon sur cour dans notre cher Quinzième, Nicole Chamchik. Après la Mère Psychologue, Paris15 va vous parler de la Fille Artiste ! Notre chaleureuse discussion avec Nicole avait en quelque sorte donné le « La » de la soirée...
Nathalie Amy, qui connaît la musique, porte bien son nom et n'est jamais à court d'inspiration (il s'en passera du temps avant que l'Amy cale, hum, hum) est une autre belle rencontre. Elle partage avec sa mère une vraie sensibilité à l'autre, une écoute, une bienveillance qui réchauffent le coeur. Ne pas montrer sa sensibilité en présence de Nathalie est impossible, tant sa voix, son attitude, sa personnalité incitent à la confiance et instaure un climat chaleureux et doux. Nathalie, outre des études très sérieuses et une grande intelligence (mais l'intelligence du cerveau n'est belle que si elle est couplée à celle du coeur, ce qui est définitivement le cas ici), est une artiste, une chansonnière, mais dans le noble sens de ce mot. Elle met en paroles et musiques des bribes de vie, des instants miraculeux où quelque chose de rare se produit. Elle n'a aucun mal à contacter ce qu'elle appelle joliment Mademoiselle Inspiration, et il est vrai qu'à l'entendre, on a l'impression que les mots lui viennent spontanément, naturellement.
Nathalie écrit en général ses textes en même temps que la musique, d'un jet, et les mots résonnent tout de suite, en accord avec les jolies mélodies qu'elle cisèle concomitamment. La nature poétique de ses compositions saute aux oreilles de ceux qui l'écoutent chanter de sa belle voix alto des textes doux amers, des tranches de vie fortes de symboles et d'associations d'images ; la base de ses chansons est bien souvent une rencontre, une émotion qui jaillit et qu'elle se fait fort de capter, d'emprisonner dans des mots touchants de sensibilité et d'une naïveté charmante. Ses mots trottent dans la tête et sa musique entête l'âme... L'humour n'est pas absent, loin de là, de ses compositions originales.
Mais si Paris15 vous parle avec autant d'émotion de Nathalie, c'est parce qu'une proposition de collaboration à un projet musical concret vous est offerte, chers lecteurs musiciens. En effet, Nathalie s'est attelé à la lourde mais vivifiante tâche d'écrire une comédie musicale, ladite comédie est en phase de répétition dans un local sis près du Trocadéro. Cette comédie musicale, ZEP, thème d'actualité, souhaite mettre en avant la possible priorité de solliciter nos zones cervicales émotionnelles, musicales et créatives (et oui, il s'agit de ces ZEP-là !) Ainsi nous pouvons prendre un poil de distance par rapport à nos vies monotones (comme le chantait si bien Gérard Manset), bref, prendre conscience de la beauté du monde et de chacun...
Alors, si vous êtes guitariste ou pianiste confirmé, doté d'une belle sensibilité, et volontaire pour participer à cette belle aventure, n'hésitez pas à contacter directement Nathalie ! Le spectacle est prévu au mois de mai, et Nathalie est en effet à la recherche d'une autre belle âme musicienne, qui saura l'accompagner avec sensibilité sur ce projet! Et si vous êtes en position de dénicheur de nouveaux talents, Paris15 vous le dit également, cette Nathalie-là vaut son pesant d'or... A bon entendeur...
La semaine passée, Paris15 vous avait parlé avec beaucoup d'émotion et de coeur d'une psychologue ayant pignon sur cour dans notre cher Quinzième, Nicole Chamchik. Après la Mère Psychologue, Paris15 va vous parler de la Fille Artiste ! Notre chaleureuse discussion avec Nicole avait en quelque sorte donné le « La » de la soirée...
Nathalie Amy, qui connaît la musique, porte bien son nom et n'est jamais à court d'inspiration (il s'en passera du temps avant que l'Amy cale, hum, hum) est une autre belle rencontre. Elle partage avec sa mère une vraie sensibilité à l'autre, une écoute, une bienveillance qui réchauffent le coeur. Ne pas montrer sa sensibilité en présence de Nathalie est impossible, tant sa voix, son attitude, sa personnalité incitent à la confiance et instaure un climat chaleureux et doux. Nathalie, outre des études très sérieuses et une grande intelligence (mais l'intelligence du cerveau n'est belle que si elle est couplée à celle du coeur, ce qui est définitivement le cas ici), est une artiste, une chansonnière, mais dans le noble sens de ce mot. Elle met en paroles et musiques des bribes de vie, des instants miraculeux où quelque chose de rare se produit. Elle n'a aucun mal à contacter ce qu'elle appelle joliment Mademoiselle Inspiration, et il est vrai qu'à l'entendre, on a l'impression que les mots lui viennent spontanément, naturellement.
Nathalie écrit en général ses textes en même temps que la musique, d'un jet, et les mots résonnent tout de suite, en accord avec les jolies mélodies qu'elle cisèle concomitamment. La nature poétique de ses compositions saute aux oreilles de ceux qui l'écoutent chanter de sa belle voix alto des textes doux amers, des tranches de vie fortes de symboles et d'associations d'images ; la base de ses chansons est bien souvent une rencontre, une émotion qui jaillit et qu'elle se fait fort de capter, d'emprisonner dans des mots touchants de sensibilité et d'une naïveté charmante. Ses mots trottent dans la tête et sa musique entête l'âme... L'humour n'est pas absent, loin de là, de ses compositions originales.
Mais si Paris15 vous parle avec autant d'émotion de Nathalie, c'est parce qu'une proposition de collaboration à un projet musical concret vous est offerte, chers lecteurs musiciens. En effet, Nathalie s'est attelé à la lourde mais vivifiante tâche d'écrire une comédie musicale, ladite comédie est en phase de répétition dans un local sis près du Trocadéro. Cette comédie musicale, ZEP, thème d'actualité, souhaite mettre en avant la possible priorité de solliciter nos zones cervicales émotionnelles, musicales et créatives (et oui, il s'agit de ces ZEP-là !) Ainsi nous pouvons prendre un poil de distance par rapport à nos vies monotones (comme le chantait si bien Gérard Manset), bref, prendre conscience de la beauté du monde et de chacun...
Alors, si vous êtes guitariste ou pianiste confirmé, doté d'une belle sensibilité, et volontaire pour participer à cette belle aventure, n'hésitez pas à contacter directement Nathalie ! Le spectacle est prévu au mois de mai, et Nathalie est en effet à la recherche d'une autre belle âme musicienne, qui saura l'accompagner avec sensibilité sur ce projet! Et si vous êtes en position de dénicheur de nouveaux talents, Paris15 vous le dit également, cette Nathalie-là vaut son pesant d'or... A bon entendeur...
Chers lecteurs, vous le savez, Paris15 aime bien causer déchets et poubelles. Tout ça pour vous dire que le plan de collecte des bacs à couvercle blanc, ceux qui servent à collecter vos trucs en verre (les bocaux et les bouteilles, pas les ampoules, même si ça vous fait drôlement envie et qu'elles sont en verre...) vient de changer dans notre 15ème. Bof, ce n'est pas révolutionnaire, puisqu'on passe de 4 secteurs collectés à... 4 secteurs collectés. En fait, ce sont simplement les jours de collecte qui changent.
Mais Paris15 le sait, un citoyen averti en vaut deux.
Chers lecteurs, vous le savez, Paris15 aime bien causer déchets et poubelles. Tout ça pour vous dire que le plan de collecte des bacs à couvercle blanc, ceux qui servent à collecter vos trucs en verre (les bocaux et les bouteilles, pas les ampoules, même si ça vous fait drôlement envie et qu'elles sont en verre...) vient de changer dans notre 15ème. Bof, ce n'est pas révolutionnaire, puisqu'on passe de 4 secteurs collectés à... 4 secteurs collectés. En fait, ce sont simplement les jours de collecte qui changent.
Mais Paris15 le sait, un citoyen averti en vaut deux.
Chers lecteurs, vous le savez, Paris15 aime bien causer déchets et poubelles. Tout ça pour vous dire que le plan de collecte des bacs à couvercle blanc, ceux qui servent à collecter vos trucs en verre (les bocaux et les bouteilles, pas les ampoules, même si ça vous fait drôlement envie et qu'elles sont en verre...) vient de changer dans notre 15ème. Bof, ce n'est pas révolutionnaire, puisqu'on passe de 4 secteurs collectés à... 4 secteurs collectés. En fait, ce sont simplement les jours de collecte qui changent.
Mais Paris15 le sait, un citoyen averti en vaut deux.
Chers lecteurs, ça fait deux fois de suite que Paris15 vous colle avec la photo du dimanche !
Celle d'aujourd'hui est plus facile, et est en même temps un indice important pour la photo de dimanche dernier qui avait été prise à quelques pas de celle-ci !
Chers lecteurs, ça fait deux fois de suite que Paris15 vous colle avec la photo du dimanche !
Celle d'aujourd'hui est plus facile, et est en même temps un indice important pour la photo de dimanche dernier qui avait été prise à quelques pas de celle-ci !
Chers lecteurs, ça fait deux fois de suite que Paris15 vous colle avec la photo du dimanche !
Celle d'aujourd'hui est plus facile, et est en même temps un indice important pour la photo de dimanche dernier qui avait été prise à quelques pas de celle-ci !
Le 1er février dernier, s'est tenue une réunion de programmation des travaux à effectuer pour remettre en état certaines installations sportives de l'arrondissement. Et visiblement, va y avoir du sport, euh, du boulot. La liste des interventions prioritaires est longue comme le bras et représente un coût total de 1 910 000 euros !
Un certain nombre de gymnases, terrains d'éducation physique, stades et piscines devraient faire l'objet de sacrées cures de rajeunissement, tout ça pendant l'année 2008 : la plomberie de la Piscine Mourlon sera remplacée et désamiantée (hem), la toiture et les vestiaires du Gymnase Croix-Nivert seront rénovées. Le sol du terrain d'éducation physique Paul Barruel sera consolidé (rien ne vaut de bonnes bases, bien solides...), tandis que les courts de tennis et les vestiaires de rugby du stade Suzanne Lenglen seront liftés. Au gymnase Olivier de Serres, adios les vieux blocs sanitaires et les antiques menuiseries antérieures ! Le sol du gymnase Saint-Lambert subira une sérieuse remise en forme, tandis qu'au gymnase Roert Keller, les mesures seront encore plus radicales, puisque sol, faux-plafond et éclairage vont y passer (Chic alors : on va enfin pouvoir jouer au badminton sans devoir éviter les ornières !). Enfin la piscine de la Plaine sera toute rafistolée aussi, se verra installer une ligne de vie (un truc pour empêcher de tomber ?) et une échelle à crinoline, qui n'est pas pouvue d'un jupon, mais de dispositifs anti-chute.
Le 1er février dernier, s'est tenue une réunion de programmation des travaux à effectuer pour remettre en état certaines installations sportives de l'arrondissement. Et visiblement, va y avoir du sport, euh, du boulot. La liste des interventions prioritaires est longue comme le bras et représente un coût total de 1 910 000 euros !
Un certain nombre de gymnases, terrains d'éducation physique, stades et piscines devraient faire l'objet de sacrées cures de rajeunissement, tout ça pendant l'année 2008 : la plomberie de la Piscine Mourlon sera remplacée et désamiantée (hem), la toiture et les vestiaires du Gymnase Croix-Nivert seront rénovées. Le sol du terrain d'éducation physique Paul Barruel sera consolidé (rien ne vaut de bonnes bases, bien solides...), tandis que les courts de tennis et les vestiaires de rugby du stade Suzanne Lenglen seront liftés. Au gymnase Olivier de Serres, adios les vieux blocs sanitaires et les antiques menuiseries antérieures ! Le sol du gymnase Saint-Lambert subira une sérieuse remise en forme, tandis qu'au gymnase Roert Keller, les mesures seront encore plus radicales, puisque sol, faux-plafond et éclairage vont y passer (Chic alors : on va enfin pouvoir jouer au badminton sans devoir éviter les ornières !). Enfin la piscine de la Plaine sera toute rafistolée aussi, se verra installer une ligne de vie (un truc pour empêcher de tomber ?) et une échelle à crinoline, qui n'est pas pouvue d'un jupon, mais de dispositifs anti-chute.
Le 1er février dernier, s'est tenue une réunion de programmation des travaux à effectuer pour remettre en état certaines installations sportives de l'arrondissement. Et visiblement, va y avoir du sport, euh, du boulot. La liste des interventions prioritaires est longue comme le bras et représente un coût total de 1 910 000 euros !
Un certain nombre de gymnases, terrains d'éducation physique, stades et piscines devraient faire l'objet de sacrées cures de rajeunissement, tout ça pendant l'année 2008 : la plomberie de la Piscine Mourlon sera remplacée et désamiantée (hem), la toiture et les vestiaires du Gymnase Croix-Nivert seront rénovées. Le sol du terrain d'éducation physique Paul Barruel sera consolidé (rien ne vaut de bonnes bases, bien solides...), tandis que les courts de tennis et les vestiaires de rugby du stade Suzanne Lenglen seront liftés. Au gymnase Olivier de Serres, adios les vieux blocs sanitaires et les antiques menuiseries antérieures ! Le sol du gymnase Saint-Lambert subira une sérieuse remise en forme, tandis qu'au gymnase Roert Keller, les mesures seront encore plus radicales, puisque sol, faux-plafond et éclairage vont y passer (Chic alors : on va enfin pouvoir jouer au badminton sans devoir éviter les ornières !). Enfin la piscine de la Plaine sera toute rafistolée aussi, se verra installer une ligne de vie (un truc pour empêcher de tomber ?) et une échelle à crinoline, qui n'est pas pouvue d'un jupon, mais de dispositifs anti-chute.
Les éleves du lycée de la photographie Quinault vous invitent à leur exposition "Prague Panoramique et Itinéraires". Cette exposition, construite en deux parties se tiendra du mardi 13 au vendredi 23 mars à la Mairie du 15ème.
- Itinéraire présente un extrait des images d'une exposition dévoilée en 2006 à l'espace Lhomond. Le choix des images s'articule autour d'un thème qui constitue le titre de cet ensemble : Itinéraires. L'ensemble de ces métaphores visuelles reflète le parcours de formation des élèves et montre surtout la diversité de leurs cheminements individuels.
- Prague Panoramique nous invite également à un voyage. C'est dans cette optique particulière que les élèves de FCIL (formation complémentaire axée sur le numérique et ses applications) ont photographié Prague en avril 2006 lors d'un voyage scolaire.
Mairie du 15e Métro Vaugirard Ouvert du lundi au vendredi, de 8h30 à 17h (19h30 le jeudi)
Les éleves du lycée de la photographie Quinault vous invitent à leur exposition "Prague Panoramique et Itinéraires". Cette exposition, construite en deux parties se tiendra du mardi 13 au vendredi 23 mars à la Mairie du 15ème.
- Itinéraire présente un extrait des images d'une exposition dévoilée en 2006 à l'espace Lhomond. Le choix des images s'articule autour d'un thème qui constitue le titre de cet ensemble : Itinéraires. L'ensemble de ces métaphores visuelles reflète le parcours de formation des élèves et montre surtout la diversité de leurs cheminements individuels.
- Prague Panoramique nous invite également à un voyage. C'est dans cette optique particulière que les élèves de FCIL (formation complémentaire axée sur le numérique et ses applications) ont photographié Prague en avril 2006 lors d'un voyage scolaire.
Mairie du 15e Métro Vaugirard Ouvert du lundi au vendredi, de 8h30 à 17h (19h30 le jeudi)
Les éleves du lycée de la photographie Quinault vous invitent à leur exposition "Prague Panoramique et Itinéraires". Cette exposition, construite en deux parties se tiendra du mardi 13 au vendredi 23 mars à la Mairie du 15ème.
- Itinéraire présente un extrait des images d'une exposition dévoilée en 2006 à l'espace Lhomond. Le choix des images s'articule autour d'un thème qui constitue le titre de cet ensemble : Itinéraires. L'ensemble de ces métaphores visuelles reflète le parcours de formation des élèves et montre surtout la diversité de leurs cheminements individuels.
- Prague Panoramique nous invite également à un voyage. C'est dans cette optique particulière que les élèves de FCIL (formation complémentaire axée sur le numérique et ses applications) ont photographié Prague en avril 2006 lors d'un voyage scolaire.
Mairie du 15e Métro Vaugirard Ouvert du lundi au vendredi, de 8h30 à 17h (19h30 le jeudi)
La loi contre le tabagisme passif est en place "presque" partout depuis le début du mois.
Pour l'interdiction de fumer dans les cafés, il faut encore attendre quelques mois pour que la directive s'y applique également.
Pourtant, déjà, certains cafetiers bien intentionnés bichonnent leur clientèle (fumeuse et non-fumeuse) en faisant déjà passer la mesure partiellement, progressivement, doucement, ... zen... calme...
La loi contre le tabagisme passif est en place "presque" partout depuis le début du mois.
Pour l'interdiction de fumer dans les cafés, il faut encore attendre quelques mois pour que la directive s'y applique également.
Pourtant, déjà, certains cafetiers bien intentionnés bichonnent leur clientèle (fumeuse et non-fumeuse) en faisant déjà passer la mesure partiellement, progressivement, doucement, ... zen... calme...
La loi contre le tabagisme passif est en place "presque" partout depuis le début du mois.
Pour l'interdiction de fumer dans les cafés, il faut encore attendre quelques mois pour que la directive s'y applique également.
Pourtant, déjà, certains cafetiers bien intentionnés bichonnent leur clientèle (fumeuse et non-fumeuse) en faisant déjà passer la mesure partiellement, progressivement, doucement, ... zen... calme...
Vous l'avez sans doute remarqué, la station de métro La Motte-Picquet Grenelle subit une cure de rajeunissement. La voilà toute emmaillotée dans des grandes palissades vertes, et visiblement, ça va durer pendant un bout de temps : jusqu'en février 2008 !
P.S. : Paris15 s'étonne de ne pas avoir trouvé plus de renseignements sur le site de la RATP... si vous avez, chers lecteurs, des infos complémentaires, n'hésitez pas !
Vous l'avez sans doute remarqué, la station de métro La Motte-Picquet Grenelle subit une cure de rajeunissement. La voilà toute emmaillotée dans des grandes palissades vertes, et visiblement, ça va durer pendant un bout de temps : jusqu'en février 2008 !
P.S. : Paris15 s'étonne de ne pas avoir trouvé plus de renseignements sur le site de la RATP... si vous avez, chers lecteurs, des infos complémentaires, n'hésitez pas !
Vous l'avez sans doute remarqué, la station de métro La Motte-Picquet Grenelle subit une cure de rajeunissement. La voilà toute emmaillotée dans des grandes palissades vertes, et visiblement, ça va durer pendant un bout de temps : jusqu'en février 2008 !
P.S. : Paris15 s'étonne de ne pas avoir trouvé plus de renseignements sur le site de la RATP... si vous avez, chers lecteurs, des infos complémentaires, n'hésitez pas !
Il est des rencontres qui marquent ceux qui les ont faites. La semaine dernière, Paris15 est allé interviewer une personne dont les mots apaisants résonnent encore dans l'esprit, et dont la sensibilité et la prévenance habitent encore l'âme. Cette personne rare et profondément humaine, tout à chacun peut l'approcher et bénéficier de ses conseils éclairés et avisés. Son nom est Nicole Chamchik, et elle a établi dans notre 15e Arrondissement un Cabinet-Conseil, véritable point d'écoute, puisque d'écoute et de conseil il est en effet question ici. Dans ce cadre, il vous est possible de venir pour une ou deux séances afin de régler un souci particulier, ou bien d'envisager des visites régulières.
Nicolas vous propose un accompagnement personnel et/ou professionnel, c'est-à-dire d'une part ce que les anglo-saxons nomment le Life Coaching (Coaching Personnel) et d'autre part un Bilan de Compétences. Ces deux aspects sont du reste complémentaires, puisque les difficultés personnelles peuvent rejaillir sur la vie professionnelle et vice versa. L'idée est de consulter Nicole Chamchik avant que les soucis ne prennent trop d'importance, comme l'on irait voir un médecin avant que la maladie n'empire... Et si la maladie est un trouble du corps, le mal à dire est un trouble de l'esprit... que Nicole se fait fort de soigner par le biais d'une neutralité bienveillante et d'un DESS Clinique et Pathologique de psychologue. Dixit Nicole : Vivre des souffrances fait partie de la vie et tant que nos limites ne sont pas touchées l'équilibre de notre personne est préservé ! Mais il arrive que certains événements cassent cet équilibre et que la souffrance devienne trop lourde à porter, c'est alors que l'aide d'un accompagnateur peut permettre de casser ce schéma nocif et de libérer nos propres réserves et forces pour retrouver un nouvel équilibre.
Nicole Chamchik, en tant que psychologue du couple, pourra mettre des mots sur vos maux, et prodiguer ses bons conseils aux couples en crise, afin d'apporter des règles de vie par rapport aux enfants par exemple, afin de leur limiter les dégâts infligés par une séparation ou une relation déséquilibrée... D'une façon générale, se faire écouter par une personne tierce compétente aide énormément à vivre mieux, quelle que soit la décision finale... Nicole, qui a également une expérience scolaire d'enseignement, est à même de conseiller vos enfants dans leur orientation (en classe de 3e et après le Baccalauréat), s'ils font face à un moment de doute, de flou (c'est souvent le cas à cet âge) ou bien en cas de désaccord familial sur l'orientation souhaitée par les parents et/ou l'enfant. Nicole Chamchik a elle-même 4 enfants de 14 à 29 ans, elle sait donc d'autant mieux de quoi elle parle !
Autre service proposé par Nicole, et qui pourra en intéresser plus d'un (ou plus d'une) : le suivi thérapeutique, par exemple le traitement des addictions comme la tabagie.
Le mot de la fin pour Nicole : La vie n'est pas un enchantement, mais un enfantement. Le bon psychologue est celui qui a la vocation ET le diplôme. Paris15 a pu juger sur pièce, Nicole Chamchik possède effectivement l'une ET l'autre, ce qui fait de sa rencontre une expérience que nous ne saurions trop recommander à ceux d'entre vous qui veulent faire un point sur leur vie, leur travail, se faire conseiller à propos de l'un des points mentionnés dans cet article, bref, retrouver une confiance et un allant favorables...
Il n'est d'ailleurs guère étonnant que son Cabinet soit sis dans un bâtiment appelé "Armonial" : il est en effet beaucoup question d'harmonie lorsqu'on rend visite à Nicole Chamchik !
Nicole Chamchik - 06 74 53 03 12 32 rue Miollis - Armonial 1 75015 Paris - M° Cambronne
Il est des rencontres qui marquent ceux qui les ont faites. La semaine dernière, Paris15 est allé interviewer une personne dont les mots apaisants résonnent encore dans l'esprit, et dont la sensibilité et la prévenance habitent encore l'âme. Cette personne rare et profondément humaine, tout à chacun peut l'approcher et bénéficier de ses conseils éclairés et avisés. Son nom est Nicole Chamchik, et elle a établi dans notre 15e Arrondissement un Cabinet-Conseil, véritable point d'écoute, puisque d'écoute et de conseil il est en effet question ici. Dans ce cadre, il vous est possible de venir pour une ou deux séances afin de régler un souci particulier, ou bien d'envisager des visites régulières.
Nicolas vous propose un accompagnement personnel et/ou professionnel, c'est-à-dire d'une part ce que les anglo-saxons nomment le Life Coaching (Coaching Personnel) et d'autre part un Bilan de Compétences. Ces deux aspects sont du reste complémentaires, puisque les difficultés personnelles peuvent rejaillir sur la vie professionnelle et vice versa. L'idée est de consulter Nicole Chamchik avant que les soucis ne prennent trop d'importance, comme l'on irait voir un médecin avant que la maladie n'empire... Et si la maladie est un trouble du corps, le mal à dire est un trouble de l'esprit... que Nicole se fait fort de soigner par le biais d'une neutralité bienveillante et d'un DESS Clinique et Pathologique de psychologue. Dixit Nicole : Vivre des souffrances fait partie de la vie et tant que nos limites ne sont pas touchées l'équilibre de notre personne est préservé ! Mais il arrive que certains événements cassent cet équilibre et que la souffrance devienne trop lourde à porter, c'est alors que l'aide d'un accompagnateur peut permettre de casser ce schéma nocif et de libérer nos propres réserves et forces pour retrouver un nouvel équilibre.
Nicole Chamchik, en tant que psychologue du couple, pourra mettre des mots sur vos maux, et prodiguer ses bons conseils aux couples en crise, afin d'apporter des règles de vie par rapport aux enfants par exemple, afin de leur limiter les dégâts infligés par une séparation ou une relation déséquilibrée... D'une façon générale, se faire écouter par une personne tierce compétente aide énormément à vivre mieux, quelle que soit la décision finale... Nicole, qui a également une expérience scolaire d'enseignement, est à même de conseiller vos enfants dans leur orientation (en classe de 3e et après le Baccalauréat), s'ils font face à un moment de doute, de flou (c'est souvent le cas à cet âge) ou bien en cas de désaccord familial sur l'orientation souhaitée par les parents et/ou l'enfant. Nicole Chamchik a elle-même 4 enfants de 14 à 29 ans, elle sait donc d'autant mieux de quoi elle parle !
Autre service proposé par Nicole, et qui pourra en intéresser plus d'un (ou plus d'une) : le suivi thérapeutique, par exemple le traitement des addictions comme la tabagie.
Le mot de la fin pour Nicole : La vie n'est pas un enchantement, mais un enfantement. Le bon psychologue est celui qui a la vocation ET le diplôme. Paris15 a pu juger sur pièce, Nicole Chamchik possède effectivement l'une ET l'autre, ce qui fait de sa rencontre une expérience que nous ne saurions trop recommander à ceux d'entre vous qui veulent faire un point sur leur vie, leur travail, se faire conseiller à propos de l'un des points mentionnés dans cet article, bref, retrouver une confiance et un allant favorables...
Il n'est d'ailleurs guère étonnant que son Cabinet soit sis dans un bâtiment appelé "Armonial" : il est en effet beaucoup question d'harmonie lorsqu'on rend visite à Nicole Chamchik !
Nicole Chamchik - 06 74 53 03 12 32 rue Miollis - Armonial 1 75015 Paris - M° Cambronne
Il est des rencontres qui marquent ceux qui les ont faites. La semaine dernière, Paris15 est allé interviewer une personne dont les mots apaisants résonnent encore dans l'esprit, et dont la sensibilité et la prévenance habitent encore l'âme. Cette personne rare et profondément humaine, tout à chacun peut l'approcher et bénéficier de ses conseils éclairés et avisés. Son nom est Nicole Chamchik, et elle a établi dans notre 15e Arrondissement un Cabinet-Conseil, véritable point d'écoute, puisque d'écoute et de conseil il est en effet question ici. Dans ce cadre, il vous est possible de venir pour une ou deux séances afin de régler un souci particulier, ou bien d'envisager des visites régulières.
Nicolas vous propose un accompagnement personnel et/ou professionnel, c'est-à-dire d'une part ce que les anglo-saxons nomment le Life Coaching (Coaching Personnel) et d'autre part un Bilan de Compétences. Ces deux aspects sont du reste complémentaires, puisque les difficultés personnelles peuvent rejaillir sur la vie professionnelle et vice versa. L'idée est de consulter Nicole Chamchik avant que les soucis ne prennent trop d'importance, comme l'on irait voir un médecin avant que la maladie n'empire... Et si la maladie est un trouble du corps, le mal à dire est un trouble de l'esprit... que Nicole se fait fort de soigner par le biais d'une neutralité bienveillante et d'un DESS Clinique et Pathologique de psychologue. Dixit Nicole : Vivre des souffrances fait partie de la vie et tant que nos limites ne sont pas touchées l'équilibre de notre personne est préservé ! Mais il arrive que certains événements cassent cet équilibre et que la souffrance devienne trop lourde à porter, c'est alors que l'aide d'un accompagnateur peut permettre de casser ce schéma nocif et de libérer nos propres réserves et forces pour retrouver un nouvel équilibre.
Nicole Chamchik, en tant que psychologue du couple, pourra mettre des mots sur vos maux, et prodiguer ses bons conseils aux couples en crise, afin d'apporter des règles de vie par rapport aux enfants par exemple, afin de leur limiter les dégâts infligés par une séparation ou une relation déséquilibrée... D'une façon générale, se faire écouter par une personne tierce compétente aide énormément à vivre mieux, quelle que soit la décision finale... Nicole, qui a également une expérience scolaire d'enseignement, est à même de conseiller vos enfants dans leur orientation (en classe de 3e et après le Baccalauréat), s'ils font face à un moment de doute, de flou (c'est souvent le cas à cet âge) ou bien en cas de désaccord familial sur l'orientation souhaitée par les parents et/ou l'enfant. Nicole Chamchik a elle-même 4 enfants de 14 à 29 ans, elle sait donc d'autant mieux de quoi elle parle !
Autre service proposé par Nicole, et qui pourra en intéresser plus d'un (ou plus d'une) : le suivi thérapeutique, par exemple le traitement des addictions comme la tabagie.
Le mot de la fin pour Nicole : La vie n'est pas un enchantement, mais un enfantement. Le bon psychologue est celui qui a la vocation ET le diplôme. Paris15 a pu juger sur pièce, Nicole Chamchik possède effectivement l'une ET l'autre, ce qui fait de sa rencontre une expérience que nous ne saurions trop recommander à ceux d'entre vous qui veulent faire un point sur leur vie, leur travail, se faire conseiller à propos de l'un des points mentionnés dans cet article, bref, retrouver une confiance et un allant favorables...
Il n'est d'ailleurs guère étonnant que son Cabinet soit sis dans un bâtiment appelé "Armonial" : il est en effet beaucoup question d'harmonie lorsqu'on rend visite à Nicole Chamchik !
Nicole Chamchik - 06 74 53 03 12 32 rue Miollis - Armonial 1 75015 Paris - M° Cambronne
Chers lecteurs, dimanche dernier, Paris15 vous a collé !
C'est la première fois et Paris15, pas peu fier, s'en vient vous proposer une photo du dimanche, pas trop simple, mais pas vraiment compliquée. En clair, si vous êtes déjà passé devant, vous reconnaitrez !
Chers lecteurs, dimanche dernier, Paris15 vous a collé !
C'est la première fois et Paris15, pas peu fier, s'en vient vous proposer une photo du dimanche, pas trop simple, mais pas vraiment compliquée. En clair, si vous êtes déjà passé devant, vous reconnaitrez !
Chers lecteurs, dimanche dernier, Paris15 vous a collé !
C'est la première fois et Paris15, pas peu fier, s'en vient vous proposer une photo du dimanche, pas trop simple, mais pas vraiment compliquée. En clair, si vous êtes déjà passé devant, vous reconnaitrez !
Créé en 1778 pour Necker, et en 1802 pour l'hôpital des Enfants Malades, premier hôpital pédiatrique ainsi créé dans le monde, le site de Necker est fort d'une histoire exceptionnellement riche en découvertes scientifiques et en progrès médical.
L'hopital Necker organise des journées d'information les 9 (trop tard), 10 (faut faire vite) et 11 (là c'est bon) février.
Il s'agit de faire découvrir le projet du futur hôpital pour enfants. Un projet qui pédale un peu dans le vide actuellement, pour des questions essentiellement administratives.
Mais le projet n'en est pas moins énorme, tant dans son envergure (un bâtiment de 55 000 m2, c'est pas rie) que dans ses objectifs.
L'un d'eux est de rassembler en un seul pôle « mère-enfant » les activités de onze bâtiments actuels (urgences, chirurgie, maternité, néonatalogie...) ainsi que le service pédiatrique de l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul (14ème) en vue d'améliorer (considérablement) la prise en charge des enfants ET des familles, souvent obligées de rester sur place plusieurs jours. Par aileurs, l'espace libéré permettra la création d'un parc de 1 hectare, traversé d'une allée reliant la rue de Sèvres à la rue de Vaugirard. Le Carré historique sera, quant à lui, entièrement restauré et deviendra l'entrée-piétons principale de l'hôpital.
Un projet remarquable donc. Et c'est notre 15ème qui l'héberge. Pour découvrir tout ça dans le détail, rendez-vous donc à l'Hôpital Necker, 149, rue de Sèvres (entrée libre et gratuite) Le site de Necker
Créé en 1778 pour Necker, et en 1802 pour l'hôpital des Enfants Malades, premier hôpital pédiatrique ainsi créé dans le monde, le site de Necker est fort d'une histoire exceptionnellement riche en découvertes scientifiques et en progrès médical.
L'hopital Necker organise des journées d'information les 9 (trop tard), 10 (faut faire vite) et 11 (là c'est bon) février.
Il s'agit de faire découvrir le projet du futur hôpital pour enfants. Un projet qui pédale un peu dans le vide actuellement, pour des questions essentiellement administratives.
Mais le projet n'en est pas moins énorme, tant dans son envergure (un bâtiment de 55 000 m2, c'est pas rie) que dans ses objectifs.
L'un d'eux est de rassembler en un seul pôle « mère-enfant » les activités de onze bâtiments actuels (urgences, chirurgie, maternité, néonatalogie...) ainsi que le service pédiatrique de l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul (14ème) en vue d'améliorer (considérablement) la prise en charge des enfants ET des familles, souvent obligées de rester sur place plusieurs jours. Par aileurs, l'espace libéré permettra la création d'un parc de 1 hectare, traversé d'une allée reliant la rue de Sèvres à la rue de Vaugirard. Le Carré historique sera, quant à lui, entièrement restauré et deviendra l'entrée-piétons principale de l'hôpital.
Un projet remarquable donc. Et c'est notre 15ème qui l'héberge. Pour découvrir tout ça dans le détail, rendez-vous donc à l'Hôpital Necker, 149, rue de Sèvres (entrée libre et gratuite) Le site de Necker
Créé en 1778 pour Necker, et en 1802 pour l'hôpital des Enfants Malades, premier hôpital pédiatrique ainsi créé dans le monde, le site de Necker est fort d'une histoire exceptionnellement riche en découvertes scientifiques et en progrès médical.
L'hopital Necker organise des journées d'information les 9 (trop tard), 10 (faut faire vite) et 11 (là c'est bon) février.
Il s'agit de faire découvrir le projet du futur hôpital pour enfants. Un projet qui pédale un peu dans le vide actuellement, pour des questions essentiellement administratives.
Mais le projet n'en est pas moins énorme, tant dans son envergure (un bâtiment de 55 000 m2, c'est pas rie) que dans ses objectifs.
L'un d'eux est de rassembler en un seul pôle « mère-enfant » les activités de onze bâtiments actuels (urgences, chirurgie, maternité, néonatalogie...) ainsi que le service pédiatrique de l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul (14ème) en vue d'améliorer (considérablement) la prise en charge des enfants ET des familles, souvent obligées de rester sur place plusieurs jours. Par aileurs, l'espace libéré permettra la création d'un parc de 1 hectare, traversé d'une allée reliant la rue de Sèvres à la rue de Vaugirard. Le Carré historique sera, quant à lui, entièrement restauré et deviendra l'entrée-piétons principale de l'hôpital.
Un projet remarquable donc. Et c'est notre 15ème qui l'héberge. Pour découvrir tout ça dans le détail, rendez-vous donc à l'Hôpital Necker, 149, rue de Sèvres (entrée libre et gratuite) Le site de Necker
Notre 15ème a aussi la particularité de compter parmi ses habitants, des journalistes. Mais attention, pas n'importe lesquels : des journalistes exilés en France, qui ne peuvent pas exercer leur métier librement dans leur pays.
C'est à la Maison des journalistes que ça se passe : installée dans le 15ème depuis le 1er novembre de 2003, rue Cauchy, elle était née un an avant à Bobigny. C'est pour eux que cette Maison a été créée, pour les accueillir, les aider, dans leur exil forcé et leur attente du statut de réfugié politique.
30 journalistes peuvent ainsi être hébergés chaque année, pour 6 mois maximum : ils bénéficient d'une aide alimentaire, peuvent se déplacer dans Paris grâce à une carte de transports mensuelle, et disposent de cartes de téléphone. Ils sont logés en chambre individuelle, et y côtoyent des confrères de tous horizons dans la même situation qu'eux, loin de leur pays, de leur famille.
Ces journalistes déracinés, exilés bien malgré eux et parfois pour un mot de trop, se retrouvent là, dans la Maison, qui les soutient dans leurs démarches administratives, leur propose un "maintien en forme journalistique" mais aussi, et surtout, leur apporte une vitale aide psychologique.
Un vrai lieu de solidarité, dans une ancienne usine réhabilitée : pour tout savoir sur la Maison des journalistes, allez voir par ici.
Notre 15ème a aussi la particularité de compter parmi ses habitants, des journalistes. Mais attention, pas n'importe lesquels : des journalistes exilés en France, qui ne peuvent pas exercer leur métier librement dans leur pays.
C'est à la Maison des journalistes que ça se passe : installée dans le 15ème depuis le 1er novembre de 2003, rue Cauchy, elle était née un an avant à Bobigny. C'est pour eux que cette Maison a été créée, pour les accueillir, les aider, dans leur exil forcé et leur attente du statut de réfugié politique.
30 journalistes peuvent ainsi être hébergés chaque année, pour 6 mois maximum : ils bénéficient d'une aide alimentaire, peuvent se déplacer dans Paris grâce à une carte de transports mensuelle, et disposent de cartes de téléphone. Ils sont logés en chambre individuelle, et y côtoyent des confrères de tous horizons dans la même situation qu'eux, loin de leur pays, de leur famille.
Ces journalistes déracinés, exilés bien malgré eux et parfois pour un mot de trop, se retrouvent là, dans la Maison, qui les soutient dans leurs démarches administratives, leur propose un "maintien en forme journalistique" mais aussi, et surtout, leur apporte une vitale aide psychologique.
Un vrai lieu de solidarité, dans une ancienne usine réhabilitée : pour tout savoir sur la Maison des journalistes, allez voir par ici.
Notre 15ème a aussi la particularité de compter parmi ses habitants, des journalistes. Mais attention, pas n'importe lesquels : des journalistes exilés en France, qui ne peuvent pas exercer leur métier librement dans leur pays.
C'est à la Maison des journalistes que ça se passe : installée dans le 15ème depuis le 1er novembre de 2003, rue Cauchy, elle était née un an avant à Bobigny. C'est pour eux que cette Maison a été créée, pour les accueillir, les aider, dans leur exil forcé et leur attente du statut de réfugié politique.
30 journalistes peuvent ainsi être hébergés chaque année, pour 6 mois maximum : ils bénéficient d'une aide alimentaire, peuvent se déplacer dans Paris grâce à une carte de transports mensuelle, et disposent de cartes de téléphone. Ils sont logés en chambre individuelle, et y côtoyent des confrères de tous horizons dans la même situation qu'eux, loin de leur pays, de leur famille.
Ces journalistes déracinés, exilés bien malgré eux et parfois pour un mot de trop, se retrouvent là, dans la Maison, qui les soutient dans leurs démarches administratives, leur propose un "maintien en forme journalistique" mais aussi, et surtout, leur apporte une vitale aide psychologique.
Un vrai lieu de solidarité, dans une ancienne usine réhabilitée : pour tout savoir sur la Maison des journalistes, allez voir par ici.
Hop-hop, remettons tout cela dans le bon ordre : L'imprimerie nationale pourrait accueillir une partie du ministère des Affaires étrangères. Voaaaala.
Selon Batiactu.com Une partie du ministère des Affaires étrangères pourrait (le conditonnel est de mise) déménager dans l'ancien siège de l'imprimerie nationale. Ce site pourrait abriter entre 2.500 et 3.000 fonctionnaires. De quoi se réjouir pour notre arrondissement qui a vu d'autres fonctionnaires quitter ce magnifique site de l'imprimerie nationale lors de sa revente il y a quelques temps aux fonds d'investissements américains Carlyle.
Sept des huit sites parisiens du ministère des Affaires étrangères pourraient dont être déplacés dans l'ancien siège de l'Imprimerie nationale.
Le porte parole adjoint du Quai d'Orsay, Denis Simoneau, a noté que le projet de l'imprimerie nationale était «sans doute celui pour lequel les négociations sont les plus avancées».
Hop-hop, remettons tout cela dans le bon ordre : L'imprimerie nationale pourrait accueillir une partie du ministère des Affaires étrangères. Voaaaala.
Selon Batiactu.com Une partie du ministère des Affaires étrangères pourrait (le conditonnel est de mise) déménager dans l'ancien siège de l'imprimerie nationale. Ce site pourrait abriter entre 2.500 et 3.000 fonctionnaires. De quoi se réjouir pour notre arrondissement qui a vu d'autres fonctionnaires quitter ce magnifique site de l'imprimerie nationale lors de sa revente il y a quelques temps aux fonds d'investissements américains Carlyle.
Sept des huit sites parisiens du ministère des Affaires étrangères pourraient dont être déplacés dans l'ancien siège de l'Imprimerie nationale.
Le porte parole adjoint du Quai d'Orsay, Denis Simoneau, a noté que le projet de l'imprimerie nationale était «sans doute celui pour lequel les négociations sont les plus avancées».
Hop-hop, remettons tout cela dans le bon ordre : L'imprimerie nationale pourrait accueillir une partie du ministère des Affaires étrangères. Voaaaala.
Selon Batiactu.com Une partie du ministère des Affaires étrangères pourrait (le conditonnel est de mise) déménager dans l'ancien siège de l'imprimerie nationale. Ce site pourrait abriter entre 2.500 et 3.000 fonctionnaires. De quoi se réjouir pour notre arrondissement qui a vu d'autres fonctionnaires quitter ce magnifique site de l'imprimerie nationale lors de sa revente il y a quelques temps aux fonds d'investissements américains Carlyle.
Sept des huit sites parisiens du ministère des Affaires étrangères pourraient dont être déplacés dans l'ancien siège de l'Imprimerie nationale.
Le porte parole adjoint du Quai d'Orsay, Denis Simoneau, a noté que le projet de l'imprimerie nationale était «sans doute celui pour lequel les négociations sont les plus avancées».
C'est le carnaval dans notre 15ème ! Les enfants de l'école élémentaire Amiral Roussin se déguisent et défilent dans le quartier avec leurs enseignants.
La FCPE et l'association P'arc en Ciel ont invité : - des musiciens à animer la parade. - les enfants de maternelle accompagnés de leurs parents à se déguiser pour se joindre au défilé ! - les lecteurs de Paris15.fr et tous les habitants du coin et d'ailleurs à se joindre à la fiesta carnavalesque !
Ca se passe samedi 10 février 2007 à 9 heures 30, devant l'école élémentaire Amiral Roussin (rue de... l'Amiral Roussin, fastoche !)
Si tu vas à Roussiiin, n'oublie pas tidadi-tadaaaa...
C'est le carnaval dans notre 15ème ! Les enfants de l'école élémentaire Amiral Roussin se déguisent et défilent dans le quartier avec leurs enseignants.
La FCPE et l'association P'arc en Ciel ont invité : - des musiciens à animer la parade. - les enfants de maternelle accompagnés de leurs parents à se déguiser pour se joindre au défilé ! - les lecteurs de Paris15.fr et tous les habitants du coin et d'ailleurs à se joindre à la fiesta carnavalesque !
Ca se passe samedi 10 février 2007 à 9 heures 30, devant l'école élémentaire Amiral Roussin (rue de... l'Amiral Roussin, fastoche !)
Si tu vas à Roussiiin, n'oublie pas tidadi-tadaaaa...
C'est le carnaval dans notre 15ème ! Les enfants de l'école élémentaire Amiral Roussin se déguisent et défilent dans le quartier avec leurs enseignants.
La FCPE et l'association P'arc en Ciel ont invité : - des musiciens à animer la parade. - les enfants de maternelle accompagnés de leurs parents à se déguiser pour se joindre au défilé ! - les lecteurs de Paris15.fr et tous les habitants du coin et d'ailleurs à se joindre à la fiesta carnavalesque !
Ca se passe samedi 10 février 2007 à 9 heures 30, devant l'école élémentaire Amiral Roussin (rue de... l'Amiral Roussin, fastoche !)
Si tu vas à Roussiiin, n'oublie pas tidadi-tadaaaa...
En zone quasi-frontalière de notre bel arrondissement, se trouve le Village suisse. On pourrait s'attendre à un petit coin de montagne à fiscalité avantageuse, avec ses vaches à clarine et leurs beuses (Paris15 a décidé de se lancer pour l'occasion dans l'apprentissage du patois vaudois), ses verts pâturages et quelques marmottes égarées (celles-là même qui ont des compétences dans l'emballage des tablettes).
Que nenni ! C'est juste que le Village suisse tient son nom de l'exposition universelle de 1900, à l'occasion de laquelle un village helvète et son environnement montagnard avaient été fidèlement reconstitués dans le secteur. Il en reste aujourd'hui des noms de ruelles à connotation fortement suisse : vous pourrez ainsi vous ballader allée du Valais ou flâner place de Genève.
Mais attention, au Village suisse, point de gruyère, mais des antiquaires et des décorateurs : le Village suisse est LE point de rencontre incontournable des amateurs d'art, regroupant 150 boutiques.
Le Village Suisse Septante-huit avenue de Suffren 54 avenue de la Motte-Picquet Le site
En zone quasi-frontalière de notre bel arrondissement, se trouve le Village suisse. On pourrait s'attendre à un petit coin de montagne à fiscalité avantageuse, avec ses vaches à clarine et leurs beuses (Paris15 a décidé de se lancer pour l'occasion dans l'apprentissage du patois vaudois), ses verts pâturages et quelques marmottes égarées (celles-là même qui ont des compétences dans l'emballage des tablettes).
Que nenni ! C'est juste que le Village suisse tient son nom de l'exposition universelle de 1900, à l'occasion de laquelle un village helvète et son environnement montagnard avaient été fidèlement reconstitués dans le secteur. Il en reste aujourd'hui des noms de ruelles à connotation fortement suisse : vous pourrez ainsi vous ballader allée du Valais ou flâner place de Genève.
Mais attention, au Village suisse, point de gruyère, mais des antiquaires et des décorateurs : le Village suisse est LE point de rencontre incontournable des amateurs d'art, regroupant 150 boutiques.
Le Village Suisse Septante-huit avenue de Suffren 54 avenue de la Motte-Picquet Le site
En zone quasi-frontalière de notre bel arrondissement, se trouve le Village suisse. On pourrait s'attendre à un petit coin de montagne à fiscalité avantageuse, avec ses vaches à clarine et leurs beuses (Paris15 a décidé de se lancer pour l'occasion dans l'apprentissage du patois vaudois), ses verts pâturages et quelques marmottes égarées (celles-là même qui ont des compétences dans l'emballage des tablettes).
Que nenni ! C'est juste que le Village suisse tient son nom de l'exposition universelle de 1900, à l'occasion de laquelle un village helvète et son environnement montagnard avaient été fidèlement reconstitués dans le secteur. Il en reste aujourd'hui des noms de ruelles à connotation fortement suisse : vous pourrez ainsi vous ballader allée du Valais ou flâner place de Genève.
Mais attention, au Village suisse, point de gruyère, mais des antiquaires et des décorateurs : le Village suisse est LE point de rencontre incontournable des amateurs d'art, regroupant 150 boutiques.
Le Village Suisse Septante-huit avenue de Suffren 54 avenue de la Motte-Picquet Le site
Chers lecteurs, vous n'avez pas vraiment fait les malins dimanche dernier... C'est Cécile qui a vu juste et qui a donné la bonne réponse, mais franchement, c'est pas si simple de trouver un Space-invaders en mosaïque sur un mur du 15ème, hein ?...
Du coup, Paris15 remet ça ! Seules différences avec dimanche dernier : ce n'est plus un space-invaders mais une tête de mort (brrr) et ce n'est évidemment pas au même endroit...
Chers lecteurs, vous n'avez pas vraiment fait les malins dimanche dernier... C'est Cécile qui a vu juste et qui a donné la bonne réponse, mais franchement, c'est pas si simple de trouver un Space-invaders en mosaïque sur un mur du 15ème, hein ?...
Du coup, Paris15 remet ça ! Seules différences avec dimanche dernier : ce n'est plus un space-invaders mais une tête de mort (brrr) et ce n'est évidemment pas au même endroit...
Chers lecteurs, vous n'avez pas vraiment fait les malins dimanche dernier... C'est Cécile qui a vu juste et qui a donné la bonne réponse, mais franchement, c'est pas si simple de trouver un Space-invaders en mosaïque sur un mur du 15ème, hein ?...
Du coup, Paris15 remet ça ! Seules différences avec dimanche dernier : ce n'est plus un space-invaders mais une tête de mort (brrr) et ce n'est évidemment pas au même endroit...
Sophocle avait bien raison : à Paris, les objets perdus deviennent la plupart du temps des objets trouvés. Le Service des Objets Trouvés, qui se targue d'être l'un des plus anciens du monde, plus que bicentenaire, est sis au 36 rue des Morillons, dans notre 15ème.
Sachez, chers lecteurs (à répéter 10 fois de suite très vite), qu'il y a assez longtemps de cela, tout objet égaré appartenait au roi, ou au seigneur haut justicier (un genre de superhéros très grand). Voilà : il fallait faire attention à ses petites affaires, sinon, zou, ça partait illico presto dans les placards du chef. Ca simplifiait amplement les démarches, mais celui qui trouvait un objet sans maître (c'est comme ça qu'on dit) devait le déclarer immédiatement et le rapporter sur le champ au seigneur et commandeur. En même temps, à ces époques, on peut imaginer qu'il n'y avait pas grand chose à perdre, vu le peu qu'on possédait...
Sans entrer dans le détail de l'historique, car co-existait aussi un droit d'épave (mais tout est expliqué là), la Révolution Française décrètera le 1er décembre 1790 que tout bien sans maître appartient à la nation. Ensuite, en 1804 le Préfet de Police demanda aux commissaires de police de faire porter dans ses locaux les objets trouvés déposés dans leurs bureaux. Puis en 1850, une première version du service des objets trouvés sera créée, recueillant quand même 10 000 objets par an. Mais à cette époque, le système de récupération des objets n'était pas très au point, et le zèle poussé à l'extrême des employés de ce nouveau service, ajouté paraît-il à des locaux pas très ragoûtants, voire insalubres, faisait que pas grand'chose n'était finalement réclamé. Il faudra laisser passer quatre décennies, pour que le Préfet Louis Lépine, une vraie bête à concours, crée le 13 octobre 1893, un service des objets trouvés, destiné à récupérer et centraliser les objets, mais aussi à organiser la restitution à leurs propriétaires, et à remettre les objets non réclamés à l'administration des Domaines.
C'est depuis 1939 que le service des objets trouvés est installé au 36, rue des Morillons. Aujourd'hui, tout ça est parfaitement huilé et organisé, sous l'égide de la Préfecture de Police (le contraire eût été étonnant...). Il paraît que le Service des Objets Trouvés reçoit environ 140 000 objets par an, de toute nature, de toute taille, avec une impressionnante cohorte de portefeuilles, de parapluies, à laquelle s'ajoute désormais celle des téléphones portables. Du boulot pour la quarantaine d'employés qui doit quotidiennement trier, répertorier, stocker près de 400 objets, et investiguer pour en retrouver les malheureux propriétaires : chaque jour près de 300 d'entre eux, plein d'espoir, défilent ainsi au guichet...
Il paraît aussi que les employés ont réuni quelques pièces insolites : parmi elles un crâne humain (probablement égaré par M. Hamlet), une langouste naturalisée (qui donc se balade dans Paris avec une vieille langouste dans son sac ?), quelques médailles dont une Légion d'honneur, une robe de mariée retrouvée dans un taxi (finalement, la dame a changé d'avis)...
Voilà quelques mystères révélés à vos yeux ébahis chers lecteurs. De quoi se sentir moins perdu...
Service des objets trouvés 36 rue des Morillons Ouvert du lundi au jeudi de 8h30 à 17h et le vendredi de 8h30 à 16h30
Sophocle avait bien raison : à Paris, les objets perdus deviennent la plupart du temps des objets trouvés. Le Service des Objets Trouvés, qui se targue d'être l'un des plus anciens du monde, plus que bicentenaire, est sis au 36 rue des Morillons, dans notre 15ème.
Sachez, chers lecteurs (à répéter 10 fois de suite très vite), qu'il y a assez longtemps de cela, tout objet égaré appartenait au roi, ou au seigneur haut justicier (un genre de superhéros très grand). Voilà : il fallait faire attention à ses petites affaires, sinon, zou, ça partait illico presto dans les placards du chef. Ca simplifiait amplement les démarches, mais celui qui trouvait un objet sans maître (c'est comme ça qu'on dit) devait le déclarer immédiatement et le rapporter sur le champ au seigneur et commandeur. En même temps, à ces époques, on peut imaginer qu'il n'y avait pas grand chose à perdre, vu le peu qu'on possédait...
Sans entrer dans le détail de l'historique, car co-existait aussi un droit d'épave (mais tout est expliqué là), la Révolution Française décrètera le 1er décembre 1790 que tout bien sans maître appartient à la nation. Ensuite, en 1804 le Préfet de Police demanda aux commissaires de police de faire porter dans ses locaux les objets trouvés déposés dans leurs bureaux. Puis en 1850, une première version du service des objets trouvés sera créée, recueillant quand même 10 000 objets par an. Mais à cette époque, le système de récupération des objets n'était pas très au point, et le zèle poussé à l'extrême des employés de ce nouveau service, ajouté paraît-il à des locaux pas très ragoûtants, voire insalubres, faisait que pas grand'chose n'était finalement réclamé. Il faudra laisser passer quatre décennies, pour que le Préfet Louis Lépine, une vraie bête à concours, crée le 13 octobre 1893, un service des objets trouvés, destiné à récupérer et centraliser les objets, mais aussi à organiser la restitution à leurs propriétaires, et à remettre les objets non réclamés à l'administration des Domaines.
C'est depuis 1939 que le service des objets trouvés est installé au 36, rue des Morillons. Aujourd'hui, tout ça est parfaitement huilé et organisé, sous l'égide de la Préfecture de Police (le contraire eût été étonnant...). Il paraît que le Service des Objets Trouvés reçoit environ 140 000 objets par an, de toute nature, de toute taille, avec une impressionnante cohorte de portefeuilles, de parapluies, à laquelle s'ajoute désormais celle des téléphones portables. Du boulot pour la quarantaine d'employés qui doit quotidiennement trier, répertorier, stocker près de 400 objets, et investiguer pour en retrouver les malheureux propriétaires : chaque jour près de 300 d'entre eux, plein d'espoir, défilent ainsi au guichet...
Il paraît aussi que les employés ont réuni quelques pièces insolites : parmi elles un crâne humain (probablement égaré par M. Hamlet), une langouste naturalisée (qui donc se balade dans Paris avec une vieille langouste dans son sac ?), quelques médailles dont une Légion d'honneur, une robe de mariée retrouvée dans un taxi (finalement, la dame a changé d'avis)...
Voilà quelques mystères révélés à vos yeux ébahis chers lecteurs. De quoi se sentir moins perdu...
Service des objets trouvés 36 rue des Morillons Ouvert du lundi au jeudi de 8h30 à 17h et le vendredi de 8h30 à 16h30
Sophocle avait bien raison : à Paris, les objets perdus deviennent la plupart du temps des objets trouvés. Le Service des Objets Trouvés, qui se targue d'être l'un des plus anciens du monde, plus que bicentenaire, est sis au 36 rue des Morillons, dans notre 15ème.
Sachez, chers lecteurs (à répéter 10 fois de suite très vite), qu'il y a assez longtemps de cela, tout objet égaré appartenait au roi, ou au seigneur haut justicier (un genre de superhéros très grand). Voilà : il fallait faire attention à ses petites affaires, sinon, zou, ça partait illico presto dans les placards du chef. Ca simplifiait amplement les démarches, mais celui qui trouvait un objet sans maître (c'est comme ça qu'on dit) devait le déclarer immédiatement et le rapporter sur le champ au seigneur et commandeur. En même temps, à ces époques, on peut imaginer qu'il n'y avait pas grand chose à perdre, vu le peu qu'on possédait...
Sans entrer dans le détail de l'historique, car co-existait aussi un droit d'épave (mais tout est expliqué là), la Révolution Française décrètera le 1er décembre 1790 que tout bien sans maître appartient à la nation. Ensuite, en 1804 le Préfet de Police demanda aux commissaires de police de faire porter dans ses locaux les objets trouvés déposés dans leurs bureaux. Puis en 1850, une première version du service des objets trouvés sera créée, recueillant quand même 10 000 objets par an. Mais à cette époque, le système de récupération des objets n'était pas très au point, et le zèle poussé à l'extrême des employés de ce nouveau service, ajouté paraît-il à des locaux pas très ragoûtants, voire insalubres, faisait que pas grand'chose n'était finalement réclamé. Il faudra laisser passer quatre décennies, pour que le Préfet Louis Lépine, une vraie bête à concours, crée le 13 octobre 1893, un service des objets trouvés, destiné à récupérer et centraliser les objets, mais aussi à organiser la restitution à leurs propriétaires, et à remettre les objets non réclamés à l'administration des Domaines.
C'est depuis 1939 que le service des objets trouvés est installé au 36, rue des Morillons. Aujourd'hui, tout ça est parfaitement huilé et organisé, sous l'égide de la Préfecture de Police (le contraire eût été étonnant...). Il paraît que le Service des Objets Trouvés reçoit environ 140 000 objets par an, de toute nature, de toute taille, avec une impressionnante cohorte de portefeuilles, de parapluies, à laquelle s'ajoute désormais celle des téléphones portables. Du boulot pour la quarantaine d'employés qui doit quotidiennement trier, répertorier, stocker près de 400 objets, et investiguer pour en retrouver les malheureux propriétaires : chaque jour près de 300 d'entre eux, plein d'espoir, défilent ainsi au guichet...
Il paraît aussi que les employés ont réuni quelques pièces insolites : parmi elles un crâne humain (probablement égaré par M. Hamlet), une langouste naturalisée (qui donc se balade dans Paris avec une vieille langouste dans son sac ?), quelques médailles dont une Légion d'honneur, une robe de mariée retrouvée dans un taxi (finalement, la dame a changé d'avis)...
Voilà quelques mystères révélés à vos yeux ébahis chers lecteurs. De quoi se sentir moins perdu...
Service des objets trouvés 36 rue des Morillons Ouvert du lundi au jeudi de 8h30 à 17h et le vendredi de 8h30 à 16h30
Pas loin de l'endroit où a été prise l'avant-dernière photo du dimanche de Paris15, que vous avez identifiée illico presto malgré le piège, chers lecteurs, car vous êtes des petits malins, rapides comme l'éclair de surcroît, connaissez-vous le Centre culturel algérien ?
Paris15 ne peut que vous recommander vivement d'aller voir ce qui s'y passe, car justement très souvent, il s'en passe de belles là-bas : expos de peinture, de photos, de sculptures, concerts, rencontres littéraires, projections de films, il y a de quoi faire. En plus de ce programme alléchant, des conférences, une cinémathèque, la presse algérienne en consultation, une bibilothèque de 30 000 ouvrages, mais aussi, des cours de soutien scolaire et des ateliers linguistiques.
Même si, Paris15 vous le concède, cette partie de l'arrondissement n'est pas la plus accessible (enfin, tout est relatif, il y a quand même quelques lignes de bus, et pas des moindres qui passent dans le coin !) ni la plus folichonne (ça, aussi c'est relatif, mais disons que ça se rénove par là !), ça ne veut pas dire pour autant qu'il ne s'y passe jamais rien d'intéressant. La preuve.
Centre culturel algérien 171 rue de la Croix-Nivert Ouvert du lundi au vendredi, de 9h à 18h
Pas loin de l'endroit où a été prise l'avant-dernière photo du dimanche de Paris15, que vous avez identifiée illico presto malgré le piège, chers lecteurs, car vous êtes des petits malins, rapides comme l'éclair de surcroît, connaissez-vous le Centre culturel algérien ?
Paris15 ne peut que vous recommander vivement d'aller voir ce qui s'y passe, car justement très souvent, il s'en passe de belles là-bas : expos de peinture, de photos, de sculptures, concerts, rencontres littéraires, projections de films, il y a de quoi faire. En plus de ce programme alléchant, des conférences, une cinémathèque, la presse algérienne en consultation, une bibilothèque de 30 000 ouvrages, mais aussi, des cours de soutien scolaire et des ateliers linguistiques.
Même si, Paris15 vous le concède, cette partie de l'arrondissement n'est pas la plus accessible (enfin, tout est relatif, il y a quand même quelques lignes de bus, et pas des moindres qui passent dans le coin !) ni la plus folichonne (ça, aussi c'est relatif, mais disons que ça se rénove par là !), ça ne veut pas dire pour autant qu'il ne s'y passe jamais rien d'intéressant. La preuve.
Centre culturel algérien 171 rue de la Croix-Nivert Ouvert du lundi au vendredi, de 9h à 18h
Pas loin de l'endroit où a été prise l'avant-dernière photo du dimanche de Paris15, que vous avez identifiée illico presto malgré le piège, chers lecteurs, car vous êtes des petits malins, rapides comme l'éclair de surcroît, connaissez-vous le Centre culturel algérien ?
Paris15 ne peut que vous recommander vivement d'aller voir ce qui s'y passe, car justement très souvent, il s'en passe de belles là-bas : expos de peinture, de photos, de sculptures, concerts, rencontres littéraires, projections de films, il y a de quoi faire. En plus de ce programme alléchant, des conférences, une cinémathèque, la presse algérienne en consultation, une bibilothèque de 30 000 ouvrages, mais aussi, des cours de soutien scolaire et des ateliers linguistiques.
Même si, Paris15 vous le concède, cette partie de l'arrondissement n'est pas la plus accessible (enfin, tout est relatif, il y a quand même quelques lignes de bus, et pas des moindres qui passent dans le coin !) ni la plus folichonne (ça, aussi c'est relatif, mais disons que ça se rénove par là !), ça ne veut pas dire pour autant qu'il ne s'y passe jamais rien d'intéressant. La preuve.
Centre culturel algérien 171 rue de la Croix-Nivert Ouvert du lundi au vendredi, de 9h à 18h
Une fois n'est pas coutume, s'éloignant un tantinet - mais pas trop tout de même - de notre cher Quinzième Arrondissement, Paris15 est parti en exploration du côté du Quai Branly et de son musée flambant neuf, celui anciennement nommé des Arts Premiers. Paris15 a plus spécialement testé une visite contée-atelier, appelée « Dans tous les Sons », qui consiste en une découverte du musée autour des instruments de musique, et le musée en compte pas moins de 9700, des instruments, qui sont pour la plupart stockés dans une colonne en verre fort moderniste, mais qui fut l'objet de pas mal de critiques ! Cette haute tour de verre (6 étages représentant 4 continents : Amérique du sud, Océanie, Afrique et Asie) permet de conserver les instruments dans des conditions adaptées tout en les laissant à la vue des visiteurs, et ce parti pris démocratique nous a plutôt paru de bon aloi...
La visite contée "Dans tous les sons", est réellement fort passionnante ; le guide-musicien, un certain Sebastiàn Morales, chilien et musicien de son état (et ethno-musicologue), maîtrise son sujet à merveille, fait preuve d'un sens pédagogique inattaquable, et joue de moult instruments (dont une flûte en os) pour nous faire comprendre la classification européenne officielle des instruments de musique. 4 catégories suffisent en effet à identifier l'ensemble des instruments de la Terre : les membranophones, les aérophones, les cordophones et les idiophones, cette dernière catégorie n'étant pas réservée qu'aux imbéciles (hum... hum...), mais comprend les instruments qui produisent du son par eux-mêmes !
Sebastiàn Morales, qui a conçu lui-même cette visite guidée, vous communiquera sans coup férir sa passion de la musique et des instruments (il est spécialisé dans les cordophones), et vous ne verrez pas le temps passer... Ce Musée du Quai Branly, puisque telle est sa dénomination officielle, superbement conçu, tant du point de vue architectural extérieur qu'intérieur, comprend un beau jardin, un mur végétal, un café (relativement dispendieux, ceci dit), et la présentation des objets (3,500 sont exposés sur un stock de... 250,000 !) les valorise vraiment. Pour le coup, Paris15 se serait cru dans un beau musée à l'étranger, tant les parisiens que nous sommes n'ont pas été habitués à tant de luxe et de bon goût dans un espace aussi vaste... Paris15 vous le dit, allez promener vos basques du côté du Quai Branly, vous ne regretterez pas le voyage !
Nathalie Amy, qui connaît la musique, porte bien son nom et n'est jamais à court d'inspiration (il s'en passera du temps avant que l'Amy cale, hum, hum) est une autre belle rencontre. Elle partage avec sa mère une vraie sensibilité à l'autre, une écoute, une bienveillance qui réchauffent le coeur. Ne pas montrer sa sensibilité en présence de Nathalie est impossible, tant sa voix, son attitude, sa personnalité incitent à la confiance et instaure un climat chaleureux et doux. Nathalie, outre des études très sérieuses et une grande intelligence (mais l'intelligence du cerveau n'est belle que si elle est couplée à celle du coeur, ce qui est définitivement le cas ici), est une artiste, une chansonnière, mais dans le noble sens de ce mot. Elle met en paroles et musiques des bribes de vie, des instants miraculeux où quelque chose de rare se produit. Elle n'a aucun mal à contacter ce qu'elle appelle joliment Mademoiselle Inspiration, et il est vrai qu'à l'entendre, on a l'impression que les mots lui viennent spontanément, naturellement.
Le sol du terrain d'éducation physique Paul Barruel sera consolidé (rien ne vaut de bonnes bases, bien solides...), tandis que les courts de tennis et les vestiaires de rugby du stade Suzanne Lenglen seront liftés.
Nicolas vous propose un accompagnement personnel et/ou professionnel, c'est-à-dire d'une part ce que les anglo-saxons nomment le Life Coaching (Coaching Personnel) et d'autre part un Bilan de Compétences. Ces deux aspects sont du reste complémentaires, puisque les difficultés personnelles peuvent rejaillir sur la vie professionnelle et vice versa. L'idée est de consulter Nicole Chamchik avant que les soucis ne prennent trop d'importance, comme l'on irait voir un médecin avant que la maladie n'empire... Et si la maladie est un trouble du corps, le mal à dire est un trouble de l'esprit... que Nicole se fait fort de soigner par le biais d'une neutralité bienveillante et d'un DESS Clinique et Pathologique de psychologue. Dixit Nicole : Vivre des souffrances fait partie de la vie et tant que nos limites ne sont pas touchées l'équilibre de notre personne est préservé ! Mais il arrive que certains événements cassent cet équilibre et que la souffrance devienne trop lourde à porter, c'est alors que l'aide d'un accompagnateur peut permettre de casser ce schéma nocif et de libérer nos propres réserves et forces pour retrouver un nouvel équilibre.
C'est depuis 1939 que le service des objets trouvés est installé au 36, rue des Morillons.
